histoire du clan

Ainsi la plupart des guerriers du pardon assisteront à l’ultime bataille, se dit fleur, ils méritent tous de connaître l’histoire de leur clan, tous …, fleur convoqua le clan, et lorsque tous furent présent, il prit la parole :

- Mes amis, je vais vous raconter l’Histoire de notre clan, de notre famille, car à l’aube de l’Ultime bataille, bien des événements s’annoncent, et il est possible que nous ne nous revoyons plus jamais…

-C’était à l’aube des temps …le soleil n’avais pas encore éclairé toutes les terres d’argents, et les Dieux façonnaient ces terres.

Bratak venait d’apparaître, personne ne sait comment il était arrivé ici, même pas lui. Il était là, c’est tout.
Bien des forces interagissent dans ce monde, la plupart nous sont inconnues et impossibles à comprendre.
« je suis ici pour faire les premiers pas de ce monde, mais j’ai l’impression d’avoir déjà marché toute ma vie » se dit Bratak. Il était à la fois tout et rien, tel un nouveau née qui aurait l’expérience d’un vieillard, condamné à ne ressentir aucune peur, aucun effrois, puisqu’il savait déjà tout.
Quel triste destinée, mais les dieux ne peuvent faire autrement, il le faut. Bratak ne peut être malheureux, car il n’a jamais connu le bonheur.
Les Dieux sont neutres. Il ont créés une dizaines d’individus, de chaque race, et de chaque camp, bon, mauvais, ou bien neutre.
Bratak était un orc bon, tout comme il aurait pu être un elfe lâche, ou encore un nain neutre.
Ce Bratak vécu 87 ans, une durée de vie très courte pour un orc, et pendant ces 87 année, il a été à l’origine de bien des chose, mais de bonnes choses. A commencer par les Guerriers du sang. Cette caste de guerrier écumait les océan, rougissait la terre du sang de leur ennemis ; Ils étaient puissants, très puissants, et surtout très respectés.
Les années passaient et les Guerriers du sang, toujours aussi impitoyable envers le mal, étaient de plus en plus respectés. Trop au goût des mauvais dieux.
De plus en plus de gens commençaient à rendre un culte à ces guerrier dans l’espérance qu’ils les délivrent de la dominance du mal, oubliant leurs Dieux, Dieux qui les avaient créés pour la plupart !
Ces derniers se réunirent alors, durant un conseil qui dura cinq jours et cinq nuit – la veille de la victoire du bien- et décidèrent de détruire ces guerriers qui prenaient leur place dans le cœur des peuples des Terres d’Argents.
Ils furent tous anéantis, tous sauf un, vous savez de qui je parle, c’était Bratak, les dieux ne purent se résoudre à le tuer.
L’orc, bien qu’âgé, était redoutablement puissant, et inspirait la crainte dans bien des cœur. Il pourchassa nuits et jours ces Dieux qui lui étaient infiniment supérieur, et, quel exploit ! il réussi à en attraper un, qui dormait dans un grand sapin.
Ce n’était pas le bon, ce n’était pas lui qui avait tué tout ses frères, mais Bratak ne le savait pas. Le Dieu que Bratak avait trouvé s’appelait Anngelos, le messager du bien.
L’orc n’eu aucune pitié, il tua Anngelos, qui n’avait pas le droit de se défendre. Au moment ou il plongea sa lame dans la gorge du Dieu, une boule d’énergie blanche fusa vers le ciel, une boule si belle…

Bratak compris son erreur, il avait tué un innocent. Pendant des semaines et des semaines, les remords le rongèrent, il ne pouvait plus manger, plus respirer et il ne voulais pas mourir, car il jugeait que la mort était une délivrance trop facile comparée au crime qu’il avait commis. Il finit par demander le pardon. Il ne savait pas à qui ou à quoi, mais il le demanda, plus intensément que personne. Bratak, qui devait déjà tout savoir, et n’aurait pas du ressentir toutes ces émotions, obéissait pour la première fois de sa vie à sa propre personne, il n’était plus le nouveau-né/vieillard, il était Bratak. Et ce fut plus fort que les Dieux, aussi bon, ou aussi mauvais qu’ils soient. Ils refirent un conseil, avec à l’esprit que Bratak avait tué un des leurs, mais qu’ils avaient tué les frères d’armes de l’orc.
Enfermés dans la haute tour du jugement, les Dieux, pendant encore cinq jours et cinq nuits, décidèrent une chose, et s’adressèrent personnellement à Bratak :
- Lorsque le mal dominera toute ces terres, et que le soleil ne se lèvera plus, vous surgirez, et ton descendant devra recréer la caste des Guerriers du sang, mais vous devrez vous appeler les Guerriers du pardons, en symbole du pardon que nous t’accordons, et de celui que tu nous accorde, je l’espère. Vous ne serez pas plus fort que les autre, vous le serez même moins. Pourtant, vous aurez un rôle à jouer, un rôle des plus importants.

- Et ce rôle, vous ne le saurez que lorsque vous l’aurez accomplis. J’ai fini…

celyxia et moi-même félicitèrent notre grand chef pour sa meirveilleuse histoire.